Jusqu’au 21 juillet, la galerie expose les peintures et les céramiques de :
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Jusqu’au 21 juillet, la galerie expose les peintures et les céramiques de :
BARRY BLANCHARD
Jean COUTURIER
Hervé MAURY




BARRY BLANCHARD
Etudes et enseignement en Arts plastiques : une vie à Paris, une vie en Martinique, puis en Val de Loire. Des tranches d’existence diversement « nourricières » pour créer.
L’artiste a participé à de nombreuses expositions collectives et personnelles en galeries et/ou Salons, à Paris, Fort de France, Périgueux, Poitiers, Beaugency, Dinard, Nantes…etc.
Son travail privilégie l’abstraction, et s’est appuyé au fil du temps sur des recherches thématiques et plastiques sur différents supports.
Les œuvres questionnent le rapport aux limites, aux lisières, des confrontations entre espace et décalages ; on y observe des affleurements de couleurs, des éclats émergeant de passages-frontières d’un ton à l’autre, cachés ou révélés, des glissements et transparences .
Les peintures présentées à la galerie sont des huiles s/toile qui n’ont jamais été exposées.
Elles sont issues d’un vaste ensemble réalisé pendant ces dernières années de repli solitaire à l’atelier : un lieu de concentration et de méditation privilégié en pleine nature.
Le regardeur est invité à y trouver ses propres chemins, en acceptant d’y plonger et de se laisser absorber, éventuellement en saisir le silence, le murmure ou le cri.
« L’artiste invite le spectateur à faire un voyage dans le champ de la toile… S’il ne fait pas ce voyage, le spectateur passe à côté de l’expérience essentielle du tableau ».
Mark ROTHKO

Jean COUTURIER
Regarde le potier qui façonne la glaise.
Pourquoi est-il brutal ? A-t-il raison ou tort ?
Irait-il triturer cette argile à son aise,
s’il pensait que c’est la poussière de ses morts ?
Omar Khayyâm (1048-1131)

Hervé MAURY
Un air mutin aux allures d’un Tintin étonnement curieux, ainsi peut-on définir le peintre marseillais Hervé Maury, à l’image des bouilles d’animaux espiègles qu’il nous offre au fil de son travail.
La terre et le sable s’égrènent sur les toiles pour apporter de la matière à une palette de pigments limitée. De l’art contemporain à la frontière de l’art pariétal. Le regard hypnotisant de ses ours sur une banquise en danger nous fait d’abord sourire puis nous interpelle sur l’urgence de les préserver, peut-être en les adoptant.
Fabuliste bien plus que naturaliste, l’un des enjeux de sa création est la conception du rapport entre l’animal, acteur du récit pictural et l’humain qui lui est parfois comparé.
« Vol 213 » est fier de vous présenter le travail enchanté de cet artiste, à la personnalité enjouée.

Véronique BLAISE
Passionnée depuis toujours par le dessin, Véronique Blaise s’est naturellement orientée vers des études artistiques à l’institut d’arts visuels d’Orléans. Après avoir obtenu son diplôme, elle a choisi le métier de graphiste, puis celui de makeup artiste, tout en continuant de peindre parallèlement par plaisir.
Aujourd’hui artiste reconnue, elle vous propose de partager sa passion autant que ses émotions.
Guidée par son instinct, elle peint au gré de ses envies … des animaux, des personnages ou des paysages … à l’acrylique ou à l’huile, utilisant pinceaux ou couteaux selon les sujets, et accordant toujours une grande importance aux cadrages, choisis avec soin, qui caractérisent sa peinture et donnent une intensité particulière à ses œuvres qu’elle aime imposantes.
En constante évolution, elle expérimente et varie les styles autant que les sujets afin de vous procurer une large palette de sensations et d’émotions !
Passionnée depuis toujours par le dessin, Véronique Blaise s’est naturellement orientée vers des études artistiques à l’institut d’arts visuels d’Orléans. Après avoir obtenu son diplôme, elle a choisi le métier de graphiste, puis celui de makeup artiste, tout en continuant de peindre parallèlement par plaisir.
Aujourd’hui artiste reconnue, elle vous propose de partager sa passion autant que ses émotions.
Guidée par son instinct, elle peint au gré de ses envies … des animaux, des personnages ou des paysages … à l’acrylique ou à l’huile, utilisant pinceaux ou couteaux selon les sujets, et accordant toujours une grande importance aux cadrages, choisis avec soin, qui caractérisent sa peinture et donnent une intensité particulière à ses œuvres qu’elle aime imposantes.
En constante évolution, elle expérimente et varie les styles autant que les sujets afin de vous procurer une large palette de sensations et d’émotions !

Romain BOUTET
Quelque part entre la peinture, le cinéma et la poésie, se cachent les photographies de Romain Boutet.
Autodidacte, cet orléanais voyageur, gourmand des autres, attrape les moments au vol comme autant de récits suspendus.
Son regard définitivement singulier compose en isolant des détails, des formes, comme le peintre fantasme la réalité, et propose des natures vivantes, vibrantes, emplies de lumière et d’énergie.
Cette année, l’exposition Maroquineries dévoile des photographies issues de plusieurs voyages au Maroc, pays de soleil, de lumières et de couleurs, une évidence finalement.

Dany DUFOUR
Travail sur les graines, une passion pour la nature, après un long séjour dans le désert Mauritanien.
Des graines qui viennent du passé, intimement liées à l’histoire de l’homme d’abord dans sa fonction première, notre nourriture.
Graine aliment, graine épice, capsule, capitule, cupule, bardée de pics, d’écailles, douce, rugueuse, dentelée, simple, ronde… Eclatante de beauté.
Façonnées, à la plaque, à la technique du colombin, souvent sans émaillage, sans habillage. Argiles de faïence, de grès et porcelaine.

Max DURAND
Sculptures d’acier travaillé à l’arc électrique, plié, tordu, martelé sur l’enclume, soudé, découpé. Soudures qui se répandent, brûlent et martyrisent le métal, ajout de matière qui donnent au fer minéral une texture presque vivante.
Dessin dans l’espace recréant l’être et la matière contre le vide ; absence ou disparition, construction ou dégradation.
L’inspiration vient du vivant, de l’animal ou de l’humain, souvent de la souffrance des corps, des âmes ou des cœurs. L’abandon, l’errance ou le martyre. »

Saïd IDOUSS
Saïd IDOUSS est un artiste indépendant, peintre et sculpteur foisonnant. Autodidacte, il développe une œuvre riche et étonnamment variée. Etonnant ? Cet artiste a le talent de savoir passer de l’univers du minuscule au très grand format.
Surprenant ? Saïd IDOUSS -comme un architecte – pense, modèle ou sculpte des volumes tels des petits abris en béton et en argile dans lesquels nous aimerions trouver refuge comme ses mini-toiles confinées, pour y déposer nos réflexions sur le monde, sur la condition humaine et aussi surtout sur l’Art. C’est le rapport même de l’œuvre d’art au spectateur qui évolue en scène : D’une part, dans l’expression du confinement dans un rapport inversé, à la limite de la personnification. Attachée, ligotée, emmurée, confinée ou coincée dans un bloc de béton dur et froid duquel elle essaie de s’extraire, l’œuvre ne semble exister que par le regard du spectateur.
D’autre part, le spectateur est obligé de s’approcher, de se baisser, d’ouvrir des boîtes, de regarder dans des petites lucarnes ou des trous de serrure pour découvrir des petites œuvres qui brisent le silence du béton.

ROGOUSKY
Depuis les dessins gravés sur les tables du fond de la classe, les taches d’encres transformées en personnages sur les marges du cahier de brouillon, les gribouillis téléphoniques ou les graffitis de réunions il me semble avoir toujours été en état de créativité compulsive avec tout ce qui peut me
tomber sous la main. J’ai résolument un esprit d’autodidacte, le terme de «BRICOLEUR» me convient parfaitement !
Mes sources d’inspiration sont multiples, voire universelles dans l’espace : art occidental, asiatique, africain ou sud-américain… ou dans le temps de Lascaux à Picasso en passant par Chardin, Braque ou Soulage. Je voudrai à l’aube de chaque œuvre être dans l’état du premier homo-sapiens venant de saisir un morceau de charbon ne sachant vraiment quel trait il va tracer ni pourquoi il le fait. Ce qui me porte vers le choix de matériaux et techniques les plus basiques, toile de jute brute et pigments naturels par exemple.

TEEJO
Teejo est un artiste digital de 32 ans originaire de Jargeau et habitant à Saint jean le braye.
Passionné d’art et de musée, il souhaite populariser l’art classique et rassembler toutes les générations autour de ses œuvres.
Grace à un procédé digital, il va alors intégrer des éléments de pop culture sur des tableaux de maitres afin de réaliser une rencontre intergénérationnelle pour que chacun puisse se sentir concernés et interpelés. Son but est de fusionner l’art classique et l’art moderne afin de délivrer un second message à notre génération et de rendre hommage aux grands peintres du XVII au XXème siècle. Teejo a aussi réalisé une série appelé « la dualité perceptuelle » (dépôt enveloppe INPI) , une expérience visuelle immersive en utilisant des lunettes 3D.
« J’ai souhaité donner un coté plus « fun » à l’art classique, afin de faire (re)découvrir d’anciens tableaux de grands maîtres parfois méconnus ou oubliés avec le temps. Casser le coté conventionnel et conservateur d’un musée ou d’une exposition en ajoutant une touche de modernité et une certaine dérision. »
« Conjuguons le passé au présent ! »

Jean-Francois THÉVIN
Comment de peintre du dimanche, devenir peintre de la semaine ?
Comment se raconter des histoires improbables en assemblant patiemment un manteau d’Arlequin ?
Comment ne pas minimiser la macule, l’accident, mais cultiver l’aléatoire et être surpris et parfois émerveillé par le résultat obtenu ?
Comment vouloir éviter le titre réducteur et ne pas pouvoir s’empêcher d’en mettre un ?
Tout cela en espérant que d’autres « regardants » s’arrêtent et accordent à mes élucubrations un minimum d’intérêt.
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